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LES OVNIS À ORLY

Mise à jour : 21/06/22
** AFFAIRE DU 13 JUIN 1952 **

Le 13 juin 1952 vers 02h du matin, un technicien de la tour de contrôle de l'aéroport d'Orly aperçoit une lueur fixe au-dessus de l'horizon. Le ciel était couvert à une altitude de mille mètres Quand dans la direction du Sud Ouest le témoin aperçoit une boule rouge immobile de taille trois fois plus grosse que Vénus. Il l'observe pendant une heure. L'avion postal de Nice arrivant, rend compte à la tour de contrôle de la même observation.

** AFFAIRE DU 31 AOUT 1954 **

Vers 19h30, un témoin observe à grande hauteur deux objets lumineux de couleur orange. Ils viennent de l'ouest à vive allure totalement parallèle. Le témoin alerte deux autres témoins qui observent les deux objets disparaître vers l'est. Quelques minutes plus tard, un troisième objet identique et suivant la même trajectoire à la même vitesse. Les trois objets sont décrits comme des cigares. (M.O.C. par Michel Aimé ** Arthaud 1958)

** AFFAIRE DU 16 OCTOBRE 1954 **

Vers 21h35, plusieurs témoins, dont les opérateurs de la tour de contrôle, observent un objet en forme de cul de bouteille, tournant sur lui-même et laissant derrière lui une trainée lumineuse orange, jaune et bleue, longue de trente fois son diamètre. Elle a entièrement éclairé la rue ou se trouvaient deux témoins. (Alerte dans le ciel par Garreau Charles ** Alain Lefeuvre 1981)

** AFFAIRE DU 17 FEVRIER 1956 **

Voici un morceau des différents articles publiés dans la presse et que l’on retrouve sur internet :

 

Dans la nuit du 17 au 18 février 1956 à 22:50 heures, apparaissait sur le radar de l'aéroport civil d'Orly près de Paris un écho correspondant à un objet d'une taille deux fois supérieure à celle des plus grands avions alors en service. Aucun avion n'étant supposé se trouver là à ce moment, les techniciens radar se bornèrent d'abord à suivre les évolutions de l'objet supposé, évolutions qui étaient totalement différentes de tout ce qu'ils avaient pu observer jusqu'ici.


Ses vitesses variaient de l'immobilité totale à une vitesse de 2500 kilomètres/heure.


La météo était exceptionnellement froide durant tout ce mois de février 1956, plus froid que jamais depuis, et il n'y avait aucun orage. Le ciel était clair et sans nuages.

 

Par la suite, alors que l'objet était toujours détecté sur les radars, un Douglas Dakota DC-3 d’Air France (F-BAXI) transportant des passagers d'un vol régulier en provenance de Londres entre dans le champ du radar. L'objet inconnu, qui à ce moment était stationnaire, est vu sur l'écran radar accélérer à une vitesse foudroyante et foncer vers le DC-3.


La tour d'Orly appelle alors le DC-3 pour lui demander s'il ne voit rien. Le pilote du DC-3 répond qu'ils voient une lumière rouge clignotante se dirigeant vers leur avion apparemment à très grande vitesse. Il indique que la position de la lumière est à la verticale des Mureaux, ce qui correspondait à la position de l'objet sur le radar.

Le pilote du DC 3 dut changer de cap pour éviter une collision qui lui semblait imminente, puis l'objet disparut à ses yeux. Pour la tour de contrôle, l'objet semblait maintenant être du côté du Bourget, ce dont ils informent le pilote du DC-3.


Le copilote, en se tournant vers ce côté, aperçoit de nouveau non seulement la mystérieuse lumière clignotante, mais bien l'objet lui-même, énorme et noir sur le fond du ciel. Lui et le Capitaine regardèrent l'OVNI pendant une demi-minute avant qu'il ne disparaisse. Dans son rapport, le Capitaine déclarait que l'objet qu'ils avaient vu ne portait aucune des lumières de navigation obligatoires.


Ce manège dura trois heures consécutives. Au dire des enquêteurs de l'aviation civile, les pilotes des divers appareils qui atterrirent ou décollèrent cette nuit-là à Orly après avoir vu la lumière clignotante, et parfois l'objet, manœuvrer autour d'eux à des vitesses folles, étaient blêmes de peur.

Le gouvernement français met alors tous les moyens en œuvre pour résoudre l’énigme du “fantôme d’Orly”. Mais les enquêteurs constatent rapidement que les outils de contrôle aérien fonctionnent parfaitement. Pour ce cas, la conclusion de l’enquête est floue. L’US Air Force s’est contentée de cocher la case correspondant à un phénomène astronomique, qui serait ici dû à la planète Vénus, tout en précisant que les données sont insuffisantes pour conclure.

Article du journal The News du 18/02/56

La traduction :

Paris a le nez en l’air pour l’objet volant

 

Paris, 18 fév. -- Un mystérieux objet volant, parfois planant stationnaire et parfois se déplaçant à environ 1,500 miles par heure, a été repéré par radar au-dessus de Paris la nuit passée, ont dit les officiels aujourd'hui.

Le (??) aérien était décrit comme aussi grand que n'importe quel avion connu. Il a également montré des lumières rouges.

Enregistré à deux Aéroports

L'objet a été enregistré sur des écrans de radar pendant quelques minutes autour de 23 heures aux aéroports d'Orly et du Bourget, des côtés opposés de Paris, ont dit les officiels de l'aéroport. Il n'a pas répondu aux appels radio de la tour de contrôle d'Orly.

Un pilote d'Air France, allant de Paris à Londres à 5,000 pieds, a repéré les lumières rouges de l'objet au-dessus de son avion avant qu'il ne disparaisse. 

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du journal Le Meridionnal du 19/02/56

Retour des soucoupes ?

Un engin mystérieux de grande taille de 2.400 km.-h

 

PARIS. -- Les radars d'Orly ont décelé l'autre nuit, sur leurs écrans, la présence au-dessus de la région parisienne, d'un engin qui n'a pu être identifié, et dont les dimensions, d'après la taille de l'écho reproduit sur l'écran radar, serait deux fois plus grandes que les avions commerciaux actuellement en service.

 La tache qui est apparue sur le radar à 23 heures s'immobilisait par moment, laissant supposer qu'il s'agissait d'un appareil pouvant stationner dans l'espace: pendant ses déplacements les plus rapides, les techniciens ont calculé qu'il atteignait la vitesse de 2.400 km.-h.

 Ces observations ont été confirmées par un pilote d'Air France qui, aux commandes d'un avion se dirigeant vers Londres, a aperçu un feu rouge clignotant au-dessus de lui et émis par l'engin signalé.
 
Volant sur son D.C. 3 à 1.300 mètres d'altitude, le pilote ayant été informé par le contrôle local d'Orly de la présence dans les parages d'un engin non identifié, constata en effet, alors qu'il se trouvait à la verticale des Mureaux, qu'une lumière rouge se dirigeant vers lui s'allumait et s'éteignait à quelques centaines de mètres au-dessus de son avion.
 
Changeant de cap pour éviter l'obstacle, il perdit de vue la lumière rouge, mais la retrouva quelques instants plus tard, après que le contrôle lui eut signal que l'objet mystérieux se dirigeait vers le Bourget. La lumière, une fois encore, apparut au-dessus du D.C. 3 avant de disparaître définitivement dans les nuages.

Les astronomes: un ballon sonde

L'observatoire de Paris, interrogé au sujet de "l'objet" aperçu au-dessus de l'aérodrome d'Orly, a déclaré que rien d'anormal n'avait été signalé au cours de l'autre nuit.
 
Les réserves les plus expresses sont formulées au sujet de "l'engin mystérieux", mais les astronomes signalent que des ballons - sondes américains, lâchés actuellement en Allemagne, peuvent atteindre des diamètres allant jusqu'à 30 mètres. Ces ballons volumineux sont transportés par des courants aériens, les "jet streams", particulièrement rapides et turbulents.
 
On fait cependant remarquer, dans les milieux aéronautiques, que l'énorme vitesse de "l'engin" (2.400 km.-h.) n'aurait pas pu être atteinte par un ballon.

 De plus, ces ballons passent sur la France à une très haute altitude; or l'engin de samedi était relativement bas.

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du journal New York Times du 20/02/56

La traduction :

MYSTERE DANS LE CIEL DE PARIS

Un objet non identifié, sur les radars, a volé à 1,500 Miles par heures

 

PARIS, 19 février -- les cercles d'aviation spéculaient aujourd'hui sur l'identité d'un objet étrange alternativement planant et volant à des vitesses au-dessus de 1.500 miles à l'heure, détecté dans la nuit de vendredi par les opérateurs de radar à l'aéroport international d'Orly.

L'objet a causé un "blip" sur l'écran de radar approximativement deux fois plus grand que celui des avions de lignes habituels, selon les techniciens. Il a semblé être à une altitude de 5.000 pieds et a été vu suivre les avions décollant ou atterrissant à Orly.

Une station de balise radio au Sud-Ouest de Paris a également rapporté l'objet mais ni le radar de l'aéroport du Bourget ni l'observatoire de Paris n'a rapporté le contact. Un porte-parole de l'observatoire a proposé que ce pourrait avoir été un ballon des Etats-Unis lâché en l'Allemagne et soufflé vers l'Ouest par les vents de "jet streams".

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du journal L'express du 20/02/56

Un mystérieux engin dans le ciel de Paris repéré par le radar d’Orly

 

Un engin mystérieux, deux fois plus gros que le plus puissant avion de transport, a été détecté durant quatre heures dans la nuit de vendredi à samedi par le radar d'Orly. A la suite de cette apparition, des consignes de discrétion extrêmement rigoureuses ont été données au personnel de l'aérodrome. On a parlé maintenant de soucoupe volante, mais les spécialistes n'y croient pas, aucun objet de ce genre n'ayant jamais été observé par des astronomes.
 
Il s'agit soit d'un appareil secret d'observation, soit d'une image parasite due à des interférences incontrôlées, comparables dans les effets aux parasites qui contrarient les émissions radiophoniques. 

3.600 kms à l'heure

C'est à 22 h. 50 qu'un agent de la navigation aérienne d'Orly remarqua sur son écran ce point anormal.

Il se déplaçait à une vitesse de 2.400 km heure, qui s'accrut même jusqu'à 3.600 km heure. La "chose" alla à la rencontre de l'avion d'Air France Paris-Londres. Son déplacement n'était aucunement prévu dans le trafic aérien nocturne civil ou militaire. Des appels par radio lui furent adressés en plusieurs langues. Il n'y répondit pas. Ce silence peut s'expliquer d'ailleurs par le fait que l'engin ne possédait peut-être pas d'instrument d'écoute branché sur les fréquences d'Orly.

 Il changea plusieurs fois de direction. Il s'immobilisa, puis repartit. Repéré à la verticale du radio-phare de Gornetz-le-Châtel, près de Rambouillet, il survolait 10 secondes plus tard Boissy-St-Léger. Il avait donc parcouru 50 kilomètres en 30 secondes. Sa vitesse était alors de 3.600 km.-heure. 

Le radar du Bourget n'a rien vu

Les observateurs ont remarqué qu'il s'intéressait particulièrement aux atterrissages et aux décollages des autres avions. Il les suivait généralement au départ d'Orly et du Bourget.

Le radar du Bourget n'a d'ailleurs rien enregistré. Les services officiels font le plus grand mystère autour de cette apparition et gardent un silence complet. L'observatoire de Paris n'a rien constaté dans le ciel.

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du journal The New York Daily Telegraph du 20/02/56

La traduction :

Traquée

 

PARIS, Dimanche. -- Les fonctionnaires de l'aéroport d'Orly ont rapporté hier qu'un objet volant non identifié de vol avait été dépisté par radar.

Ils ont estimé la vitesse de l'objet qu'ils ont dépisté dans la nuit de vendredi à 1700 milles à l'heure.

Les fonctionnaires ont déclaré que l'objet - de deux fois la taille d'un avion commercial normal - s'est déplacé à cette vitesse entre de moments stationnaires au-dessus de Paris.

Les fonctionnaires de l'aéroport ont déclaré qu'ils n'ont aucune explication immédiate des rapports.

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du journal Le Figaro du 21/02/56

A propos de l’apparition dans le ciel de Paris d’un mystérieux engin

« Le radar a fonctionné normalement » affirme-t-on à Orly

 

Nous avons relaté dans quelles circonstances les techniciens du radar d'Orly avaient constaté, dans la nuit de vendredi à samedi, la présence d'un engin mystérieux qui sillonna le ciel de Paris pendant quatre heures avant de disparaître.

 Une information selon laquelle le radar qui repéra l'engin aurait été placé sous scellés a été démentie dans les milieux autorisés, Ceux-ci font remarquer que le radar constitue un système trop complexe et trop important pour être placé tous simplement sous scellés et qu'il serait insensé de mettre hors service celui d'Orly dont le fonctionnement n'a accusé rien d'anormal.
 
Ils confirment d'autre part, que le service de navigation aérienne d'Orly avait alerté vers minuit les services de la défense anti-aérienne du territoire.

Il y a donc lieu de se demander pourquoi le radar militaire de Meaux qui aurait pu observer cet engin pendant près de quatre heures, n'est pas entré en action. S'il avait secondé le radar d'Orly, le radar de Meaux aurait peut-être contribué dans une large mesure à éclairer ce mystère.

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du journal Le Meridional du 21/02/56

« L’engin » d’Orly : mystère total

 ‘il ne s’agissait pas d’un ballon sonde’ déclare le pilote qui l’approche

 

PARIS. -- "Ce n'était sûrement pas un ballon sonde", a déclaré à la presse M. Michel Desavoye, le pilote d'Air France qui alerté par la tour de contrôle d'Orly, samedi dernier, aperçut dans le ciel parisien une lumière clignotant rouge dont l'origine reste mystérieuse.

 Agé de 36 ans, M. Desavoye a navigué sur toutes les lignes du monde depuis cinq ans comme pilote d'Air France. Voici son récit:

 "J'avais décollé d'Orly à 23 heures 55 à bord d'un DC-3 transportant du fret pour Londres. J'assure ce service quotidien aller et retour depuis un mois. Quelques minutes après le décollage, la tour de contrôle d'Orly me signalait un engin non identifié repéré par radar se dirigeant vers le Bourget, et qui devait se trouver sur ma route. M. Baupetuy, mon radio, et moi-même aperçûmes alors un peu sur notre droite et sensiblement à la même hauteur que nous un feu clignotant rouge. Nous étions à environ 1.500 mètres à la hauteur d'Orgival. Voulant éviter l'obstacle, je changeais de cap. Là, la lumière disparut alors brusquement. Je repris à nouveau ma route. Le radar m'annonça alors que "l'engin" était maintenant au-dessus de moi. Mais cette fois je ne vis rien. 

 "Je suis incapable de vous donner une explication de ce phénomène, ajoute M. Desavoye, mais je n'ai jamais rien vu de semblable. Tout ce que je puis vous affirmer, c'est qu'il ne s'agissait pas en tout cas d'un avion, car nous aurions vu ses feux de position. La nuit était très noire et je n'ai pu voir d'où venait cette lumière qui paraissait de toute façon deux fois plus grosse que ne le sont normalement les feux de position."

 Rentré à Paris à 5 heures du matin, M. Desavoye fut interrogé par les techniciens radar d'Orly et un colonel de l'armée de l'air et confirma ses dires dans un rapport écrit.

Ovni 17-18/02/5 Orly

Article du journal The New York Daily Telegraph du 22/02/56

 

La traduction :

La soucoupe fantôme mystifie Paris

Par United Press

 

Paris, 21 février, -- le gouvernement français a cherché aujourd'hui à résoudre le mystère du fantôme d'Orly, un colossal objet du genre soucoupe qui a tourbillonné à travers le radar de l'aéroport à vitesse supersonique vendredi dernier.

C'était la troisième fois en moins d'une an que le fantôme a été tracé sur carte par des écrans radar au terrain d'aviation très actif et international des abords de Paris. L'objet a été décrit comme ayant environ deux fois la taille du plus grand avion connu, s'est parfois déplacé à 2000 miles à l'heure environ, et a été stationnaire autour de l'aéroport pendant environ quatre heures.

Le mystère s'est encore épaissi quand un contrôle détaillé a révélé que l'équipement de radar était en excellente condition de fonctionnement.

Un pilote d'Air France a rapporté avoir repéré des lumières rouges clignotantes dans le secteur dans lequel le radar a placé le fantôme après son décollage pour Londres.

Ovni 17-1/02/56 Orly

Magazine: Point de vue

L'engin mystérieux d'Orly peut être français

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du journal Sunday Mirror du 11/03/56

La traduction :

Les radars de Paris détectent un ‘objet’ volant

 

PARIS, France (UP). -- Un objet volant non identifié, décrit comme deux fois plus grand qu'un avion de ligne normal, a été dépisté sur des écrans de radar ici, ont rapporté récemment des fonctionnaires de l'Aéroport d'Orly.

Voyageant à 1.500 miles à l'heure environ, l'objet est apparu au-dessus de la région de Paris vers la fin de la soirée, et a semblé être stationnaire quelques moments avant de disparaître à grande vitesse.

L'objet a été également aperçu par un vol pilote d'Air France vers Londres qui a rapporté voir une flamme rouge intermittente dans le ciel au-dessus de lui.

Ovni 17-18/02/56 Orly

Article du magazine Quick-Texte du 11 mars 1956

 

La traduction :

Alarme à la station de radar du terrain d’aviation d’Orly ; pendant trois heures un mystérieux objet volant a menacé les appareils décollant et atterrissant.

 

(à cet emplacement de l’article, il y a une photo de 3 radaristes impliqués dans cet incident et 2 photos nocturnes de l’objet observé suivis de la légende ci-dessous :

L'un des dix techniciens de radar du terrain d'aviation d'Orly. Tous ont vu une caractéristique comme celle-ci (à droite) sur leurs moniteurs de radar et ont immédiatement alerté les avions de chasse français.)
 

"C'était stupéfiant!" a confirmé le technicien radar Baruc. Trois heures durant, il a vu comment "l'objet impossible" a pourchassé d'autres avions.
 
Les témoins: Le chef des radars Deveaux a été interrogé avec ses dix collègues par le personnel général français au sujet du vaisseau fantôme. Il a écrit dans son rapport que "l'objet volant" avait été au-dessus de Paris pendant trois heures. Il était deux fois plus grand que le plus gros avion, s'est parfois arrêté dans le ciel, pour emballer alors plus loin encore avec une vitesse de 2400 kilomètres par heure.
 
La preuve: Soudainement un brouillard en forme de banane s'est formé autour d'un corps géant mystérieux sur l'écran de visualisation du radar. "Il est resté immobile, et nous pouvions exactement voir comment un DC-3 qui décollait et un Constellation qui atterrissait ont plongé sous le corps géant. Il m'a semblé que c'était comme si le vaisseau fantôme voulait observer le trafic aérien de Paris," a dit une des personnes des radars. Mais le vaisseau fantôme s'est reposé dans la direction du nord-est de lui, s'est arrêté là et a finalement sauté vers un avion de la poste. "Nous avons déjà craint une collision, quand l'objet impossible à fait un cercle: il avait découvert une nouvelle cible sous forme du vol 103 de la Swissair venant de Londres. Il a croisé le cours du DC-3 FBAXI qui venait juste de décoller. Leur pilote nous a parlé d'une boule de feu compacte rougeâtre."

 Le vaisseau fantôme a suivi le vol 103 de la Swissair pendant 40 secondes. Alors il a disparu en un clin d’œil au-dessus d’Orly, pendant que les avions de chasse que le technicien de radar a alerté 3 heures avant pour être envoyés en interception décollaient. L’équipe du chef d’Etat Major français examine maintenant pourquoi l’envoi des avions de chasse depuis le terrain d’aviation de Trous à 200 km de là avait été si long.

L’explication proposée est « des causes indéterminables »…

Témoignage de Monsieur Charles M.

 

A la période où cette observation a eu lieu, Charles M., de Toussus-le-Noble, était pilote amateur d'avions de tourisme. Il était l'animateur du Club Aérien de Paris. 17 ans plus tard, il se souvenait encore bien de l'agitation due au grand nombre de témoignages visuels.

 Charles M. écrit que l'observation a suscité une attention médiatique considérable dans les journaux parisiens et sur les radios nationales. L'OVNI d'Orly a en effet été vu par des milliers de personnes à Orly, au Bourget, et au Vésinet, avec une durée totale de quatre heures pour l'événement. Durant ces quatre heures de présence dans la région parisienne, l'OVNI a été vu notamment par la quasi-totalité du personnel des équipes de nuit à Orly.

 Charles M. explique que l'OVNI a été détecté dès son arrivée par l'opérateur du radar d'Orly. Le comportement de l'écho qu'il détectait était tellement différent de celui des avions qu'il a d'abord pensé à une panne de son radar. Il a alors comparé l'écho sur son PPI (écran) avec ce que montrait le PPI "à côté" (3) et a alors constaté que les deux PPI montraient exactement le même écho.

 Charles M. précise que la taille de l'OVNI était deux fois celle des avions de lignes de l'époque, les DC-4 et Lockheed Constellation.

 L'OVNI s'est dirigé vers le Dakota DC-4 [DC-3], qui venait de décoller d'Orly depuis peu de temps à destination de Londres. Le nom du pilote était Désavoi [Michel Desavoye]. Tout l'équipage observé visuellement l'OVNI: Désavoi, le radio, le mécanicien. L'OVNI a escorté leur DC-4 pendant un temps, puis il est reparti vers Orly ou il a pris en chasse un autre avion qui atterrissait au Bourget. Ensuite, l'OVNI s'est livré à un "véritable ballet aérien" et est revenu finalement à la verticale d'Orly, où il a alors filé droit à la verticale et à une "vitesse vertigineuse" vers le ciel.

 Charles M. se souvient que le lendemain, Désavoi a été convoqué Orly, ou un commandant lui a demandé de démentir les faits afin de calmer la presse et la radio. Désavoi a refusé et est resté sur sa position, répétant strictement ce qu'il avait vu, et rappelant que son radio et son mécanicien avaient vu ce qu'il avait lui-même vu.

L'affaire est retombée dans l'oubli, personne n'a eu d'explication sur le moment. Mais longtemps après, un article de journal mentionna brièvement la pseudo-explication suivante: "Nous avons enfin l'explication du phénomène d'Orly: il s'agissait simplement d'un écho de radar dans la Seine."

Article du magazine Planète, n° 10 de mai-juin 1963

 

L'article :

« Oui, il y a un problème soucoupes volantes »

 

Aimé Michel (ufologue), qui a donné fort peu de détails sur les événements eux-mêmes mais étudié ce cas avec attention, donne des informations complémentaires qu'il a recueillies auprès des personnels impliqués: 

Dans la nuit du 17 au 18 février 1956 à 23 heures, apparaissait sur le radar d'Orly une tache correspondant à un objet d'une taille deux fois supérieure à celle des plus grands appareils alors en service. Aucun avion n'étant signalé dans la région, les techniciens se bornèrent d'abord à suivre les évolutions de l'objet supposé, évolutions fantastiques, puisque les vitesses variaient du sur-place le plus rigoureux à 2'500 kilomètres/heure (notons, au passage, que, d'après une étude américaine que je citerai tout à l'heure et qui fait autorité, cette vitesse exclut déjà l'hypothèse de l'inversion de température).

 Mais voici qu'un DC 3 de la ligne de Londres apparaît dans le champ de l'appareil. L'objet inconnu, qui à ce moment était stationnaire, est vu sur l'écran démarrant à une vitesse foudroyante et fonçant vers le DC 3. La tour d'Orly appelle alors ce dernier pour lui demander s'il ne voit rien.

 

Pilote : Je vois une lumière rouge clignotante qui se dirige vers moi apparemment à très grande vitesses, répond le pilote.

 Tour de contrôle : Quelle position attribuez-vous à cette lumière ?

Pilote : La verticale des Mureaux.

 

C’était la position repérée au radar. Le pilote du DC-3 dut changer de cap pour éviter une collision qui lui semblait imminente, puis l’objet disparut à ses yeux.

 

Pilote : Je ne vois plus tien. Avez-vous perdu le contact ?

Tour de contrôle : Non, l’objet semble être du côté du Bourget.

 

En effet, le pilote, en se tournant de ce côté, aperçoit de nouveau non seulement la mystérieuse lumière clignotante, mais bien l'objet lui-même, énorme et noir sur le fond du ciel.

 

Ce manège dura trois heures consécutives. Au dire des enquêteurs de l'aviation civile, les pilotes des divers appareils qui atterrirent cette nuit-là à Orly après avoir vu la lumière clignotante, et parfois l'objet, manœuvrer autour d'eux à des vitesses folles, étaient blêmes de peur. Mais ce n'est pas tout:

 

a) l'objet "connaissait" l'existence et la position des radio-balises. Il se déplaçait fréquemment de l'une à l'autre à des vitesses atteignant 3 600 km/h.

 

b) Il "connaissait" l'existence et les limites du radar. Quand aucun avion n'était en vue, il sortait du champ du radar par la verticale, et n'y rentrait que pour foncer vers l'avion en train d'approcher.

 

c) Et voici le plus fantastique. A un moment, pour en avoir le cœur net, les opérateurs appelèrent le radar du Bourget:

 

Tour de contrôle ORY : Avez-vous la même réception que nous?

 

Aussitôt, le radar d'Orly fut brouillé par une puissante interférence. Pour échapper au brouillage, les opérateurs d'Orly changèrent de fréquence. Plus de brouillage pendant quelques secondes, au cours desquelles l'objet redevint parfaitement visible sur l'écran. Après quoi le brouillage reprit sur la nouvelle fréquence: tout se passait comme si l'objet, ayant intercepté et compris la conversation entre Orly et Le Bourget, avait jugé importun le repérage radar et l'avait brouillé, et ceci de fréquence en fréquence, car radar et brouillage ne cessèrent à partir de ce moment de se poursuivre! Cette interprétation, il faut le souligner, je la tiens des techniciens de l'aéronautique qui enquêtèrent ensuite sur l'incident.

 

Détail: le radar du Bourget, en dérangement, ne fonctionnait pas cette nuit-là.

 

Ainsi, dans ce cas particulier, l'observation radar fut doublée non seulement de l'observation optique, visuelle, par les pilotes qui aperçurent l'objet en vol, mais par tout un manège chat et souris évoquant irrésistiblement une activité intelligente.

 

Quelques années plus tard, je reçus à Paris la visite d'un des membres les plus éminents de la Commission d'Enquête de l'U.S. Air Force venu consulter mes dossiers et échanger avec moi ses impressions. Interrogé sur ce qu'il pensait du cas d'Orly, il poussa un soupir désabusé:

 

Membre commission : Des cas de cette sorte, nous en avons tous les mois aux Etats-Unis.
Aimé Michel : Et vous les expliquez?
Membre commission : Les expliquer? Comment les expliquerions-nous? C'est parfaitement inexplicable.
Aimé Michel : Mais alors, pourquoi diable publiez-vous périodiquement des communiqués affirmant que 99,5 % des cas qui vous ont été soumis ont reçu une explication satisfaisante, et que les autres n'ont aucune importance?

 

Membre commission (Nouveau soupir désabusé) : Pourquoi? Pour avoir la paix. N'oubliez pas que la commission américaine est une commission militaire. Ah! si l'U.S. Air Force confiait cette tâche à des hommes de science...

Emission radio "Le fantôme d'Orly" - France Inter - 23/06/2017 - par Fabrice Drouelle (53 min)

ECOUTER

 

Retour sur l’une de ces énigmes, un fait réel et non élucidé, qui a nourri les réflexions des ufologues et l’imaginaire de tout un chacun : le fantôme d’Orly.

Aujourd’hui Affaires sensibles/la Fiction vous propose « Le Fantôme d’Orly »

  • Une émission proposée par Christophe Barreyre

  • Ecrite par Xavier Lacaille

  • Réalisée par Laurence Courtois

Canulars, illusions d’optique, interprétations erronées de phénomènes aérospatiaux naturels… telles sont les explications, toujours rationnelles, avancées par les instances chargées d’enquêter d’après les récits de ceux qui affirment avoir aperçu un OVNI. Ces témoignages se multiplient depuis les années 50, mais la science n’a pas toujours été capable d’apporter des explications convaincantes à ces rencontres mystérieuses, et elle n’a anéanti ni les convictions de certains, toujours persuadés que la vie extraterrestre est entrée en contact avec notre planète, ni le romanesque qui entoure les OVNIS et qui nourrit notre imaginaire et, pour certains, nos convictions.

Cette nuit du vendredi 17 février 1956, comme chaque nuit, les contrôleurs aériens de l’aéroport d’Orly veillent dans leur tour de contrôle, pour assurer la bonne fluidité des arrivées et des départs des avions. Ce soir-là, les radars de la tour de contrôle décèlent la présence d’un objet volant intrigant : deux fois plus imposant que les plus gros avions de l’époque, qui file à une vitesse supersonique avant de s’immobiliser au-dessus de l’aéroport pendant 4 heures.

Aux alentours de 3h du matin, l’objet se remet en mouvement et semble se diriger à toute allure vers l’aéroport du Bourget. Dans les tours de contrôle, la panique est palpable : impossible d’intervenir sur cet objet, qui risque de percuter un avion et de provoquer un terrible accident !

Et puis, de quoi s’agit-il ? Cet objet volant ne correspond à rien de connu, pas même des contrôleurs aériens, formés pourtant à interpréter les images du ciel dans la prestigieuse École nationale d’aviation civile.

L’enquête lancée par le gouvernement conclut rapidement qu’il ne peut s’agir d’une simple image parasite venue perturber les tours de contrôle : le radar est moderne, les outils de contrôle aérien ont bien fonctionné...

Extrait du scénario

2 INT. COCKPIT – NUIT

Nous sommes dans le cockpit de l'avion. L'ambiance sonore est plus chargée.

PILOTE

Qu'est-ce que c'est que cette masse sur le radar ?

COPILOTE

Je… Je ne comprends pas commandant. Ce n'est pas une masse nuageuse en tout cas.

PILOTE

C'est un avion ? Je n'ai rien sur ma feuille de route. Nous sommes censés être les seuls à cette heure-ci. Essayons de les contacter.

Le pilote trifouille quelques boutons. On entend le son d'une radio.

COPILOTE

Ici Douglas Dakota DC-3. Commandant Meroux a l'appareil.

Nous sommes a destination de l'aéroport d'Orly et vous êtes sur notre axe. Pouvez-vous m'indiquer votre

trajectoire ? Terminé.

Un court silence.

PILOTE

Je répète, vous êtes sur notre axe et je ne compte pas dévier. Nous n'avons pas assez de carburant. Terminé.

Un court silence. Toujours pas de réponse.

PILOTE

Vous me recevez ?

Pas de réponse.

COPILOTE

Commandant, je ne pense pas que ce soit un avion. L'objet est statique sur le radar.

PILOTE

Mais… Qu'est-ce que c'est que ce truc…

Le pilote active un bouton pour appeler la tour de contrôle.

PILOTE

Ici VOL Douglas Dakota DC-3, pour tour de contrôle, vous me recevez ? Terminé.

TOUR DE CONTRÔLE (OFF)

Je vous reçoit 5 sur 5. Terminé.

PILOTE

J'ai une masse a 8000 pieds qui vient d'apparaître sur mon radar et je n'ai rien de tout ca sur ma feuille de route. Terminé.

Un court temps.

TOUR DE CONTRÔLE (OFF)

Je n'ai aucun avion en approche a part vous. Vérifiez.

Terminé.

PILOTE

Je vous répète que j'ai une masse stationnaire sur mon champ de radar. Un écho d'une taille deux fois supérieur à notre avion. (Il commence à perdre son sang-froid)

Qu'est-ce que c'est que cette connerie ? On ne peut pas se permettre de reporter notre atterrissage. Nous n'aurons pas assez de carburant. Terminé.

Court silence.

TOUR DE CONTRÔLE (OFF)

(Sa voix semble moins posée qu'avant) Je vois effectivement une masse importante sur le radar… Je…

Le copilote le coupe dans son élan. Il vient d'apercevoir quelque chose.

COPILOTE

Bordel de chiotte, qu'est-ce que c'est que cette lumière ?!

PILOTE

La vache !!

On l'entend se lever dans le cockpit et perdre son équilibre. Il tombe au sol puis se relève.

COPILOTE

Ça va commandant ?

PILOTE

Oui oui ca va…

Il se replace sur son siège.

PILOTE

Tour de contrôle, je vous confirme qu'un engin non identifié s'est planté sur notre trajectoire. Et il ne porte aucune lumière de navigation obligatoire !

Invité Arnaud Esquerré

Arnaud Esquerré est chargé de recherche au CNRS et membre du Laboratoire d'Ethnologie et de Sociologie Comparative (université de Paris Ouest Nanterre La Défense). Il a enseigné à Sciences Po et à l'EHESS. Après avoir soutenu une thèse en sociologie sur la question du délit de "sujétion psychologique" dans les groupes sectaires en France (La manipulation mentale. Sociologie des sectes en France, Fayard 2009), il prolonge ses travaux dans ce champ de recherche en s'intéressant aux discours eschatologiques d'une part, et aux pratiques astrologiques de l'autre. Récemment, il a publié la Théorie des événements extraterrestres paru chez Fayard en 2016. A travers une étude structurale et linguistique des récits d'OVNI archivés par le GEIPAN (département du Centre national d'études spatial dévolu à l'étude des phénomènes aérospatiaux non identifiés), il montre comment ces témoignages répondent aux mêmes modalités narratives que les récits fantastiques. Il a, par ailleurs, co-écrit avec Luc Boltanski, Enrichissement. Une critique de la marchandise (Gallimard, 2017)

Le scénariste Xavier Lacaille : Xavier Lacaille, diplômé de la Fémis, scénariste, signe ici son 1er scénario radiophonique.

Générique : C'était "Le fantôme d’Orly" de Xavier Lacaille

Avec:

  • Thierry Pietra, Matthieu Marie, Bastien Bouillon, Noémie Landreau, Céline Milliat-Baumgartner, Leslie Lipkins, Aurélien Osinski, Samuel Charles, Olivier Ruidavet, Ava Hervier, Elsa Parent-Koenig.

  • Bruitages – Elodie Fiat

  • Prise de son, montage, mixage - Manuel Couturier, Antoine Viossat

  • Assistante à la réalisation – Léa Racine

  • Une réalisation de Laurence Courtois

Programmation musicale:

  • MGMT "Alien days"

  • STEREOLAB "Des étoiles électroniques"

L'équipe

Article du magazine Top Secret, n° 6

 

L'affaire d'Orly, février 1956

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** AFFAIRE DU 25 AVRIL 1975 **

Cette fois-ci l'histoire de "Soucoupe volante" semble pour beaucoup ne pas être une élucubration. 

Deux pilotes de ligne ont vu l'OVNI qui évoluait, le 25 avril, au-dessus de la capitale, s'écraser à l'extrémité nord des pistes d'Orly. Cette révélation, connue aujourd'hui seulement, est l'une des minutieuses observations faites à l'aéroport par de nombreuses personnes dignes de foi. Ces observations ont été tenues secrètes par les services de la Police de l'Air. 

En ce qui concerne les pilotes, ceux-ci se préparaient à atterrir ce soir-là, à 20 h 55, lorsqu'ils signalèrent, à la tour de contrôle, qu'un objet de couleur rouge sombre prolongé d'une traînée lumineuse, évoluait à faible altitude, au-dessus de l'aérodrome, suivant le cap sud-est - nord-ouest. Quelques instants plus tard, précisèrent les pilotes, "l'engin" s'écrasait à l'extrémité nord du terrain. 

De leur côté, les techniciens de la tour de contrôle avaient fait la même constatation, ainsi que les gendarmes mobiles en mission de surveillance sur l'aéroport, ces derniers indiquant en outre que "l'engin" en se désintégrant, avait éclaté en trois morceaux distincts. Des recherches aussitôt effectuées de la zone nord d'Orly ne devaient cependant donner aucun résultat. La police affirme n'avoir retrouvé aucun débris suspect ni relevé aucune trace anormale sur le sol. 

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Extrait du magazine Bulletin de l'Association des amis de Marc Thirouin "Commission d'enquêtes sur les ovnis", n° 7 de Mars-Avril 1975

- Vendredi 25 Avril 1975 - 0. V .N. I. ou météorites dans le ciel européen -

+ Observation d'un objet noire avec traînée par le personnel de la tour de contrôle d ' Orly et par deux pilotes. Après recherche, aucun résultat. Météorites surement accompagnées par un O.V. N.I. peut-être ? (de l'Eclair). 

** AFFAIRE DU 14 AOUT 1975 **

Vers 22h05, observation d'une boule rouge. (Le grand Livre des OVNI par Delval Pierre ** Editions De Vecchi 1976)

** AFFAIRE DU 30 NOVEMBRE 1995 **

Vers 09h04, le mécanicien d'un airbus A300 d'Air Inter, a observé un objet rectangulaire avec plusieurs raies rouges et blanches qui a traversé le ciel. (UNIDENTIFIED AERIAL PHENOMENA EIGHTY YEARS OF PILO par Weinstein Dominique)

Article du journal Le Parisien du 02/08/2003

Melun. Jeudi 30 novembre 1995.

A 9 heures du matin, un airbus Air Inter IT 426, en provenance de Marseille, entame sa descente vers l'aéroport d'Orly. Témoignage du commandant de bord Jean-Marie Gilman. « Soudain est apparu un engin étrange qui arrivait en sens inverse sur notre axe de vol, il volait deux fois plus vite qu'un avion. L'objet ressemblait à un panneau rectangulaire d'environ 12 m sur 3 avec un marquage en forme de V. » L'avion évite de justesse la collision. « J'ai dit à mon copilote et au mécanicien : "Les gars, on vient de voir la même chose ou quoi ?" » Le pilote rédige un rapport Airprox. L'affaire est classée sans suite. A l'époque, les médias avaient relaté cet incident. Bernard Thouanel, qui a contre-enquêté, est

catégorique : « Il s'agissait de l'essai d'un engin furtif, probablement un drone, ayant dévié de sa trajectoire. » 

** AFFAIRE DU 09 JANVIER 2000 **

Vers 17h20, 2 témoins observent un objet de forme triangulaire, stationnaire. L'observation dura 20 minutes..

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